Citation

« Trouver la lumière en moi c’est me repérer par rapport à ce en quoi je reconnais, plutôt qu’à ce que je connais »

-Mikaëla Lantoine

Le reconnaissance de ce qu'il y a de plus lumineux en soi

Pour en savoir davantage sur mon utilisation du mot « jeu » cliquer ici

Publicité

Lumiamour

Suivre l’appel de mon Âme et m’accueillir dans mon humanité, c’est être L’umiamour !

Par survie, je m’identifie à un personnage étant une création issue de mon histoire, de mon passé. Ce personnage est sous la loi de l’égo et construit son rêve égocentré grâce au mental.

Me définir par rapport à mon histoire c’est exister dans le passé et me référer à des envies mentalisées plutôt qu’à ce qui me met en Vie. Mes projets, mon futur ont alors pour aspiration, bien souvent inconsciemment, de modifier mon passé, comme si mon passé cherchait à devenir mon futur.

De façon analogique, lorsque mon passé définit mes envies c’est mon humanité qui veut faire sa loi plutôt que de me laisser unformé/e par la lumière qui me met en vie. C’est cela mon égo! Ce dernier, avec son assistant le mental, cherche ainsi, en amalgamant mon passé et mon futur, à mélanger, superposer, fusionner deux choses qui sont désunies de par mon expérience de dualité: la Lumière et l’Amour inconditionnel qui dans l’Unité, le TOUTUN (que l’on appelle aussi la Source, la Vie, Dieu…) ne font qu’un : L’umiamour

Référentiel

Dans le langage actuel, dire « Cela ne fait pas partie de mon référentiel » c’est exprimer que ce dont il est question ne fait pas partie des choses que l’on connait, en d’autres mots qui font partie de nous puisque l’on ne peut reconnaitre que quelque chose qui est soi.

Je vous propose d’explorer davantage ce mot par différentes approches.

Le mot « référence » vient du latin referre de fero (« porter »), de l’indo-européen commun *bʰer-, qui a également donné en anglais bear dont le sens peut être « porter, produire, supporter, apporter » et aussi « avoir en soi ».

Le mot « porter » vient lui du latin portare (« transporter » littéralement « porter au-delà») de portō, lui même de portus (« port ») de la racine per (« à travers ») dont est issu le grec πόρος, poros (« passage ») et dont provient également porta (« ouverture, porte »).

En langue des oiseaux, cela peut exprimer « réfer en ciel » ou « réf. est en ciel ». Le mot « ciel » vient lui du latin caelum, de l’indo-européen commun *(s)kai[1] (« brillant ») lié au grec ancien αἰθήρ, aithêr (« ciel, éther ») et αἰθαλος, aithalos (« étincelle »).

Ma synthèse intuitive de tout cela est que mon « référentiel » est ce qui m’éclaire de l’intérieur en miroir dans l’extérieur . C’est ce que je porte en moi, autrement dit cette lumière que je suis. C’est ce qui m’éclaire afin que je ne m’égare pas de moi-même et qui rayonne la vie que je suis. C’est l’expression du plus grand que ce personnage auquel je m’identifie, ce divin en moi qui me guide durant cette traversé, cette expérience duelle qu’est la vie . C’est ce qui fait Loi pour moi et reflète le sens de mon existence incarnée.

Mission

Vous êtes vous déjà demandé quelle pouvait être votre mission de vie ?

Suivant certains paradigmes, il est admis que l’être n’a pas de « mission » si ce n’est d’être !

Je m’interroge tout de même sur ce mot « Mission » et sur l’usage que l’on peut en faire

Tout d’abord, tournons nous vers l’étymologie du mot « mission ». Il vient du latin mittere, infinitif présent de la voix active de mittō qui signifiait primitivement « laisser aller, laisser partir »

D’autre part, dans le langage courant actuel, « mission » fait référence à une charge, une fonction, un but à atteindre. tout cela évoquant une responsabilité.

De plus le mot « mettre » a lui aussi pour origine mittere et en Langage des Oiseaux on peut y entendre « m’être » et donc « me être » > « être moi » en laissant la vie prendre sens en moi.

Tout cela me mène à la perception que la « mission » de chaque être humain est de « laisser aller », par l’être qu’il est, la manifestation de la Conscience sous une forme unique manifestant l’infini. Comme si notre mission était de s’engager pleinement dans l’Unique décliné en nous, de prendre la responsabilité de manifester une « facette » de la Conscience, d’assumer de se laisser vivre en nous quelque chose qui ne nous est pas propre, ne nous appartient pas et auquel nous n’avons pas à rester identifié et qui pourtant nous est spécifique.

Cela nécessite donc de reconnaitre la spécificité qui se fait « visible » par nous, d’assumer notre différence et d’oser nos élans de vie, nos rêves, de prendre la responsabilité de nos aspirer…

Dans les milieux spirituels, les ambitions et les rêves peuvent être perçus comme étant liés à l’égo, mais n’est-ce pas une injonction de l’Être que de laisser la conscience « s’expérimenter » en reconnaissant ce qui en chacun, de façon spécifique, est « inestimable » car « manifeste » et « évident »? N’est-ce pas de l’ordre d’une Loi « divine » d’être déterminé à laisser, à cet Unique en nous, toute la visibilité inhérente à ce qu’il est?

Il me semble donc que l’on peut porter un nouveau regard sur ce mot « mission » vibrant, selon moi, d’un engagement d’existence consistant à laisser une « facette » de l’infini être visible de par une sorte de « mise en avant » d’un spécifique qu’il faut assumer de laisser prendre sens sans se l’approprier.

Vidéo

2021 à la lumière des cartes

Je propose ici une lecture des cartes (Dixit et Tarot du Zen) inspirée de la clé de naissance et de la Loi du Principe de la Bioanalogie, sur le thème de 2021.

Expérimenter la découverte d’un potentiel, c’est avoir pour référence sa sérénité et pour sérénité la non-identification au mental. Comme si notre identité se trouve dans la sérénité et que notre sérénité est de ne pas faire de notre identité un objet. Subtil n’est-ce pas !!!

Je vous laisse prendre dans cette vidéo ce qui vous correspond et je vous remercie pour vos commentaires inspirants.

Expérimenter la découverte d’un potentiel