Mon libre arbitre

Est-ce que mes conditionnements définissent qui je suis ou est-ce que je définie les conditionnements qui m’amènent à évoluer vers qui j’aspire à être ?

Est-ce que mes conditionnements m’enferment ou me libèrent ?

Ce qui revient à se demander : Suis-je conditionné consciemment ou inconsciemment ? Car étant un Être de conditionnements, je ne peux pas faire le choix d’être conditionné ou pas. Je peux pas contre choisir la façon dont je le suis et l’être consciemment.

Ainsi, suis-je conditionné par l’utilisation des ecrans et des outils numériques ou est-ce que je les utilise vers ce que j’aspire à être?

Suis-je conditionné par mon corps, ses inconforts, ses limites, voir même ses souffrances ou est-ce que je le conditionne à me porter vers ce que j’aspire à être? On parle d’ailleurs de « condition physique « .

Suis je conditionné par mon mental, mes émotions, mes pensées, mes croyances ou est-ce que je les conditionne à me conduire vers ce que j’aspire à être?

Suis-je conditionné par mon impatience, mes comparaisons, mes besoins, mes idéaux, mes envies de résultat, mes résistances….ou est-ce que je crée consciemment en collaboration avec eux?

Suis-je conditionné par l’argent, la nourriture, mes activités, professionnelles ou pas, mes relations humains, mon lieu de vie…ou est-ce que je les adapte à ce que j’aspire à être ?

Il n’est pas question ici de control ni de volonté mais plutôt de détermination et de présence à ce qu’il y a de plus lumineux et créatif en moi.

C’est en effet la présence qui fait toute la nuance. C’est par la présence au type de respiration qui me nourrit profondément que ma respiration reflex où je m’éteinds disparaît. C’est par la présence à tout ce qui est précieux et rayonnant en ce corps que l’inconfort et la souffrance disparaissent. C’est par la présence aux pensées créatrices que mes pensées limitantes s’estompent.

Cette présence ne m’est possible que dans un état de Gratitude, d’Amour et de Félicité pour ce qui est et c’est en m’appuyant sur le constat de ce qui est, qu’il m’est possible de vivre le mouvement et l’évolution.

Alors, vers quoi est-ce que je choisi de porter ma présence et comment est-ce que je choisis de m’appuyer sur humain de je suis à présent pour créer l’Etre humain toujours plus lumineux ?

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La liberté d’être intuitif

On rend parfois hommage aux femmes, j’ai ici l’élan de rendre hommage aux hommes.

Hommes de ma vie, hommes de ma généalogie, hommes de mon entourage, hommes du monde… masculin en vous, en nous, en moi…

J’aimerais pour cela rendre à « César ce qui appartient à César » et ce que je souhaite restituer, c’est l’intuition.

En effet, si les femmes ont été destituées de bien des choses, dans ma perception les hommes l’ont été aussi, notamment de la liberté d’être intuitif.

Dans le langage populaire on parle en effet « d’intuition féminine », or l’intuition n’est pas le propre du féminin puisque c’est la rencontre du féminin ET du masculin.

L’intuition est en effet ce qui se manifeste lorsque la lumière (masculin) inspire la matière (féminin) – lorsque le ciel rencontre la terre – lorsque le concret accueille le subtil – lorsque l’humain vit sa dimension divine – ….

… Lorsque le féminin et le masculin font UN

Vivre son intuition c’est donc vivre la rencontre du féminin et du masculin en soi.

Ainsi tout être a le droit à sa liberté d’être intuitif, quelque soit sa biologie.

Vidéo

Le jugement sous toutes ses formes

Avez-vous déjà observé combien le jugement peut prendre différentes formes ?

Quand je me dévalorise, je me juge.
Quand j'agis en sauveur ou en victime, je juge le situation.
Quand j'agis comme si le monde reposais sur mes épaules, je juge qu'il ne sera pas parfait sans mon intervention.
Quand je vis dans un idéal, je juge ma perception du l'existence.
Quand je ne m'aime pas, je me juge comme pas aimable.
Quand je suis la voie des habitudes, je juge la nouveauté et l'inconnu.
Quand je cherche à contrôler, je juge les potentialités.
Quand je tiens avant tout compte de la parole des autres, je juge mon ressenti.
Quand je met des conditions, je juge le moment présent.

Pour aller plus loin sur le sujet :

Lorsque je me dis que je suis nul ou pas assez bien pour telle chose ou telle personne, que je me dis que je suis moins bien que untel, je juge ma valeur et le jugement devient dévalorisation. Mon mental, fonctionnant de façon binaire, ne peut percevoir mes caractéristiques que comme des défauts ou des qualités, mais qui suis-je pour juger mon unicité? Si le nombre infini des différences et singularités est la « Valeur » de l’existence, alors exclure une seule de ces spécificités c’est se couper de l’Unité.

Lorsque je me dis qu’il faut absolument que je fasse telle chose et que je remue ciel et terre pour y parvenir, je juge que si je ne le fais par cela va maquer au monde et le jugement devient illusion du pouvoir personnel de mon égo. J’ai à cœur à chaque instant de faire de mon mieux, mais qui suis-je pour juger de la perfection de l’état du monde? Si le nombre infini de possibilités de constats de la réalité est la « Perfection », alors exclure un seul de ces constats c’est se couper de la plénitude.

Lorsque je me plie en quatre pour venir en aide à l’autre, parfois même sans qu’il me l’ai demandé et pouvant aller jusqu’à me sacrifier, c’est juger que cette situation est mauvaise pour lui et le jugement devient sauveur. Cette situation peut être humainement inconfortable voir dramatique, mais qui suis-je pour savoir dans quoi son être est le plus susceptible de se « réaliser »? (dans le sens de prendre la responsabilité de son existence). Si le nombre infini de possibilités d’évènements de vie est la spiritualité, alors exclure une seul des directions que prend notre vie c’est se couper du « Sens » de l’existence.

Lorsque je pense que la réalité que je vis dans l’instant devrait être autrement, c’est juger qu’une autre réalité là tout de suite serait préférable pour moi et le jugement devient idéal. Il peut m’être difficile émotionnellement de regarder les choses en face, mais qui suis-je pour choisir la meilleure réalité? Si le nombre infini de perceptions relatives est la « Vérité », alors exclure une seule de ces relativités c’est renoncer à « l’Évidence ».

Lorsque je cherche à recevoir de l’amour de quelqu’un, c’est juger que je ne suis pas un assez bon humain pour réussir et/ou mériter de m’aimer moi-même et le jugement devient conflit intérieur. Il se peut que l’enfant que j’étais n’est pas été accueilli comme il se doit, mais qui suis-je à présent pour juger si je suis ou non aimable? Si le nombre infini d’humain est l’humanité, alors exclure un seul de ces humains c’est ignorer l’Amour.

Lorsque je suis en attente de quelque chose sans aucune ouverture à d’autres éventualités, c’est juger qu’un futur est mieux qu’un autre et le jugement devient « fermeture ». Mon imaginaire aime à se projeter dans l’avenir, mais qui suis-je pour juger l’inconnu qui vient à moi? Si le nombre infini d’inconnu est déploiement, alors exclure un seul de ces inexplorés c’est se fermer à l’émerveillement.

Lorsque je tente de contrôler une situation, c’est juger que ce que je suis n’est pas puissance et le jugement devient « emprise ». Sur le plan humain nous vivons évidemment des injustices et nos avons besoin de comprendre, mais qui suis-je pour juger de ce qui est juste? Si le nombre infini de possibilités est l’Universalité, alors exclure un seul potentiel c’est ne pas être présent à l’abondance.

Lorsque je voudrais être ailleurs où dans une autre situation, c’est juger ma place et le jugement devient déconnexion. Il est a, il est vrai, des situations inconfortables, voir intolérables où pour survivre on a besoin de se couper de son ressenti, mais qui suis-je pour juger de la cohérence de mon intériorité? Si le nombre infini de connexion est fluidité, alors exclure une seule de ses intrications c’est se couper de l’Harmonie.

Lorsque je m’oblige où que je m’interdis, c’est juger ce que je vis dans l’instant et le jugement devient contrainte et enfermement. La vie ne peut pas être sans limites, mais qui suis-je pour juger ce qui se vit en moi et par moi. Si le nombre infini d’expérimentation est Liberté, alors exclure une seule de ces sensations, c’est éteindre ma Joie.

Et chez vous, quelle forme a tendance à prendre le jugement ?

Vidéo

2021 à la lumière des cartes

Je propose ici une lecture des cartes (Dixit et Tarot du Zen) inspirée de la clé de naissance et de la Loi du Principe de la Bioanalogie, sur le thème de 2021.

Expérimenter la découverte d’un potentiel, c’est avoir pour référence sa sérénité et pour sérénité la non-identification au mental. Comme si notre identité se trouve dans la sérénité et que notre sérénité est de ne pas faire de notre identité un objet. Subtil n’est-ce pas !!!

Je vous laisse prendre dans cette vidéo ce qui vous correspond et je vous remercie pour vos commentaires inspirants.

Expérimenter la découverte d’un potentiel

Vidéo

2020 – L’année de la vérité

Ma vérité c’est respecter précieusement la perception de ce que j’expérimente librement avec Amour !

Cette année 2020 est en effet la découverte de mon authenticité. Cette authenticité dans laquelle je m’aime telle que je suis dans toute mon humanité, celle qui m’affranchit des chaînes de croyances, celle dans laquelle je suis libre d’expérimenter toutes les possibilités de perceptions et donc de réalités. En étant prêt à expérimenter librement et avec Amour ma réalité unique de l’instant, je m’affranchis de tout maître extérieur et je vis ce nouveau paradigme de l’homme libre.

Si vous souhaitez en entendre d’avantage et en retirer ce qui vous correspond, je vous invite à visionner ce tirage de carte.