En passant

Se retrouver

Il y a quelques mois de ça, j’étais totalement perdue, déconnectée du sens de ma vie, incapable de concrétiser quoi que ce soit, de choisir quelle direction prendre, quoi faire de ma vie, en perte de repères.

Après des années d’exploration de moi et de l’humain, de découvertes de concepts, de formations, d’apprentissages de techniques j’étais en incapacité de savoir quoi faire de tout ce bagage, d’y trouver ma place, de me réaliser pleinement, de savoir comment le mettre en œuvre concrètement dans ma vie, de trouver le point de convergence entre toutes ces expérimentations, de savoir quel était le sens et la spécificité de la Vie en moi, de trouver ma voie.

Alors que j’étais à l’aise avec tout un tas de notions et de théories, que je me connaissais mieux que jamais, ma réalité de vie en était toujours au même point depuis des années, comme s’il existait une sorte de conflit entre la matière et moi.

Dans ce vide intense où je me trouvais j’avais l’impression d’en être arrivée à un point où je stagnais, de butter face à un cap à franchir, d’avoir une sortie de zone à faire, un nouveau chapitre à écrire, quelque chose à réinventer. Au delà de la peur, des doutes, de l’angoisse et de la dépression latente, je ressentais un appel impérieux et profond à continuer de grandir et évoluer. J’ai alors choisi de vivre la totalité de cette expérience avec l’inconfort de l’absence de revenus, avec ce brouillard intense en permanence face à moi, avec l’absence totale d’informations sur ce que j’avais à faire de ma vie et sur ce vers quoi j’évoluais. Avec également l’enthousiasme de deviner un mouvement s’amorcer, l’intuition de la justesse de l’expérience, la confiance en quelque chose de plus grand que moi, l’évidence que le moment était venu pour autre chose de plus rayonnant et avec surtout la curiosité.

Je réalise à présent avec le recul, que cette étape consistait pour moi à descendre. Non pas dans des profondeurs obscures et sombres, non pas en enfer ni dans les gouffres de la souffrance, non tout simplement descendre dans mon ressenti, celui par lequel mon Être expérimente la Vie de façon concrète, celui qui est intriqué avec mes besoins. Comme si j’avais jusqu’ici dans ma vie, refusé le socle concret et solide qui m’était depuis toujours proposé et que je fuyais : mon humanité. Cette base existentielle dans laquelle je ne m’étais pas vraiment installée, pas suffisamment enracinée, pas réellement ancrée.

A présent j’ai la sensation de faire bien davantage « Un » avec le mouvement de la Vie, d’être davantage connectée à mon intuition, à mon Être profond, à ma propre guidance, à mon Moi supérieur, au Divin en moi, à la Source, à mon Esprit de Lumière…. Et en même temps de mieux savoir ce dont j’ai besoin et de pouvoir y faire face, de passer plus rapidement et plus efficacement à l’action. Je me sens plus libre, plus présente, plus vraie, plus Une, plus moi ! J’ai l’impression d’avoir retrouver des « bouts » de moi que j’avais abandonnés, oubliés, cachés, sacrifiés… Cette réuniance de mon être dans sa globalité, ces retrouvailles avec moi-même, ces réconciliations ont été accélérées et intensifiées par la découverte de la Spirale Étoilée. Ce processus m’a permis en me retrouvant face à moi-même, d’expérimenter davantage de centrage, d’alignement, de reliance apportant ainsi plus de fluidité, plus de merveilles, plus de magie à ma vie.

Si tu as toi aussi besoin de te retrouver, de recontacter ton intuition, ton inspiration, de savoir te fier à toi même, de retrouver ce en quoi tu crois, de pouvoir laisser émerger tes aspirations spontanées, de vivre ton plein rayonnement, de passer à l’action concrètement je serai ravie de t’accompagner au cours de ce magnifique processus dont m’a fait cadeau la Vie et qui se nomme la Spirale Étoilée.

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En passant

Ce que l’incohérence de ma survie m’a enseigné

Au début de ma vie, ma survie dépendant des autres, j’ai renoncé à ma perception de la vie, à ma vision du monde, par peur d’être exclue du clan familiale et plus tard de mes groupes d’amies.

Pour arriver à faire cela il a fallu que je me persuade moi-même inconsciemment que ma perception de la réalité était moins importante, moins vraie, moins précieuse, moins réelle que celle des autres. J’ai ainsi peu à peu abandonné ma vérité et me suis retrouvée quasiment sans guidance intérieure, sans mes propres repères, en errance. J’ai alors perdue une partie de ma capacité d’être humain à être guidée par la part plus subtile, plus vaste de moi.

Dans cette perte de sens et de guidance, lorsque je ne savais plus quoi croire, quoi penser, lorsque j’avais besoin d’une vision, d’une perception, d’une opinion pour me guider dans mes expériences de vie, je me référais à la celles des autres puisque les miennes n’étaient plus accessibles. Je les avais cachées, occultées pour qu’il me soit possible de me référer aux perceptions des autres et réussir ainsi à me mentir ainsi à moi-même.

J’ai alors, une bonne partie de ma vie eu la sensation d’être perdue, d’être en recherche sans même savoir de quoi, puisque j’avais occulté ce processus de survie. J’ai agit ainsi pour me protéger de la terrible souffrance qu’aurait généré le fait de connaitre ma vérité sans avoir le pouvoir de la respecter.

La part de moi qui savait que je n’étais pas dans le vrai, dans le réel m’aspirait ainsi dans cette quête de vérité. Cependant les opinions et les visions que j’adoptais finissaient bien souvent par être pour moi des impasses et des déceptions.

La souffrance et le cercle vicieux de la survie et

Voilà ainsi toute l’incohérence de la survie, car pour survivre j’adopte la perception des autres et j’occulte la mienne. Puisque je ne suis ainsi plus capable d’avoir mes propres repères et que je ne suis plus en contact de ma réalité, j’ai besoin de me référer à celle des autres.

Un vrai cercle vicieux

En laissant moins de place à la survie

Et puis au fil de mes explorations, j’ai réalisé que je pouvais trouver en moi les réponses, les visions, les éclairages me permettant de définir qu’elle est façon de faire, la solution, la voie la plus juste pour moi, celle qui me correspond réellement. La vie a alors commencé à être plus fluide, plus facile et à moins ressembler à une lutte permanente.

Cette réappropriation de ma réalité, de ma vérité est arrivée à son point culminant avec la découverte de la Spirale Étoilée. Par ce processus j’ai pu me retrouver encore davantage face à moi-même, désocculter des croyances dont je n’avais plus besoin car elles ne correspondaient plus à ma qui je suis et n’avaient donc plus lieu d’être.

Après avoir adopter les visions et croyances des autres pendant des années, je redécouvre ainsi chaque jour quelle est ma perception du monde, ma vision de la vie. Je suis de nouveau en contact avec ma propre guidance intérieure, ma propre vérité.

La richesse de l’expérience de ce mode de survie est de m’avoir apporté la conscience de la préciosité de la relativité de chacun. Bien entendu dans ma vie personnelle, je cherche encore à ce que les autres adoptent ma perception pour recevoir la validation quant à sa réalité. Bien entendu j’adopte encore par moment les perceptions des autres. Cependant dans mon accompagnement professionnel, cet endroit de ma vie où ma personnalité se met un peu en retrait, tout le potentiel de cette expérience de vie peut s’exprimer. C’est alors un grand bonheur pour moi de pouvoir partager un peu de la réalité de l’autre, de partager l’exploration de son potentiel de vie. J’ai alors très à cœur de prendre soin de la vérité de chacun car je sais combien elle est précieux.

Ainsi je ressens une immense gratitude pour la découverte de la Spirale Étoile qui me permet d’être à la fois en retrait et à côté de l’autre dans son exploration de lui-même. Je peux ainsi accompagner l’autre à être face à lui-même tout en ayant le soutien de ma présence et de mon expérience.

Merci donc au Grand Mystère pour de cadeau et à Jean-Philippe Brébion pour son enseignement qui a été la base de cette découverte.

En passant

La perception de ma réalité peut-elle être sans filtre ?

Un de mes réflexes de survie étant de croire que si je fais tout bien comme il faut, je pourrais sortir de l’illusion du manque et donc être sereine et en sécurité, alors je cherche à tout faire. Inéluctablement cela me conduit à l’éparpillement, voir même au surmenage et à la panique.

Lorsque je vis davantage l’unité et la globalité, je suis consciente que, de par mes spécificités d’être humain, me fermer à une chose c’est m’ouvrir à une autre. En effet en m’ouvrant à un projet je me ferme à d’autres, vu que je ne peux pas être partout à la fois, et en me fermant à une proposition je m’ouvre à d’autres et ainsi de suite. De même en étant présente à la conscience et la sérénité, je ne suis pas à la cogitation et aux conflits intérieurs et inversement, même si cette expérience là est bien plus fugace.

Ainsi j’expérimente toujours en même temps une action et son opposé !

Et pourtant lorsque que je suis allongée, je ne suis pas debout et inversement ! De même lorsque je perçois le vent souffler du nord, je ne le perçois pas venant du sud !

Avez-vous déjà tenter d’écouter ou de regarder plusieurs choses en même temps ? Pour ma part le constat de cette expérience est que je peux entendre et voir plusieurs choses à la fois, mais je ne peux en regarder ou écouter qu’une seule.

Ainsi la perceptions étant un focus, je ne perçois qu’un seul aspect de réalité en même temps que je définis comme étant ma réalité. Percevoir étant une vision précise et non élargie de mon expérience, ma réalité est un ciblage et je ne perçois qu’une seule réalité à la fois. Ce focus est ce que je perçois comme étant « vrai » pour moi, ce à quoi je suis présente à cet instant. D’un instant à l’autre je peux être présente à une expérience différente de la même façon que je changerais de lunettes telle une infinité de filtres.

Ainsi de manière générale, j’y vois bien plus clair lorsque je sais consciemment à travers quel filtre je perçois ma réalité : celles de mes peurs, celles de mes besoins, celles de mes aspirations, celles de mes doutes, celles de mes espoirs, celles de mes attentes, celles de mes émotions, celles de mes limites…. Une chose est sûre, comme le dit la formulation « la condition humaine », puisque je suis humaine je ne peux pas être sans conditionnements, autrement dit sans croyances et ni donc sans lunettes.

Alors puisque je suis conditionnée à avoir des lunettes, autant jouer avec elles !!!

En passant

Se retrouver et se révéler à soi

As-tu déjà, toi aussi, eu la sensation d’être à côté de ta vie, de rater quelque chose, d’être insatisfait-e ou d’être en train chercher quelque chose sans même savoir quoi ?

Et bien moi, j’ai passé presque 40 ans avec cette sensation, consciemment ou inconsciente selon les moments.

Le besoin de réponse face à cette sensation m’a conduit à explorer bien des domaines qui m’ont aidée à grandir. Étrangement, ces dernières années, ce fonctionnement semble de moins en moins efficace comme s’il m’apportait de moins en moins de réponses qui me correspondent réellement et profondément.

Et puis il y a presque un an, j’ai reçu un merveilleux cadeau. Quelque chose qui me permet d’être autonome dans mon évolution en trouvant mes propres réponses, mes propres méthodes, mes propres astuces…. J’ai la sensation à présent d’être davantage en communication avec mon âme ou quelque chose d’autre de plus subtile que l’être incarnée que je suis. 

Fini donc de tâtonner avec des rituels, processus, protocoles ou techniques avant de trouver ce qui fonctionne vraiment pour moi. Fini les inscriptions à des formations dont je ne fais rien ou qui me déçoivent. Je vais à présent droit au but. J’ai spontanément et directement accès à la façon de faire qui est juste et puissante pour moi.

Ce cadeau pour lequel j’ai une immense gratitude c’est la Spirale Étoilée

Si tout cela résonne d’une façon ou d’un autre pour toi, tu as la possibilité d’en savoir davantage sur cette découverte en cliquant ici

En passant

Le Bonheur ! Pour quoi faire ?

Et soudain le choc !

Celui de réaliser que j’ai passé ma vie à chercher comment être heureuse mais que je ne me suis jamais interrogée sur le « POURQUOI? »

C’est dans le dernier livre d’Aurore Rœgiers que cette phrase est venue me frapper de plein fouet : « VOUS VOUS DEMANDEZ SOUVENT, COMMENT ÊTRE HEUREUX. MAIS LA VRAIE QUESTION EST : POURQUOI ÊTRE HEUREUX? »

Quelle stupeur de réaliser que je n’avais jamais envisager les choses sous cet angle et que la réponse était loin d’être évidente.

Et si cette question là était la véritable clé du bonheur ? Que tous les « comment » étaient vains et inutiles ? Que la seule chose importante était de savoir POURQUOI nous le voulons ?!? Comme si la réponse personnelle à cette question est ce qui nous enracine dans notre bonheur, ce qui nous éclaire de l’intérieur quoi qu’il arrive !

Et vous ? Quel est ce « POURQUOI » dans lequel s’enracine votre bonheur ?