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Connecter l’Amour en soi

Voici une proposition de pratique de contacter l’Amour en soi par présence.

C’est une invitation à s’explorer, à observer quels sont nos fonctionnements réflexe vis-à-vis de l’Amour. Il est bon d’y aller en douceur et sans chercher un résultat en le pratiquant régulièrement. C’est alors une façon de s’apprivoiser de l’intérieur, un peu comme le Petit Prince avec son renard.

Voici ci-dessous la vidéo d’accompagnement :

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Le jugement sous toutes ses formes

Avez-vous déjà observé combien le jugement peut prendre différentes formes ?

Quand je me dévalorise, je me juge.
Quand j'agis en sauveur ou en victime, je juge le situation.
Quand j'agis comme si le monde reposais sur mes épaules, je juge qu'il ne sera pas parfait sans mon intervention.
Quand je vis dans un idéal, je juge ma perception du l'existence.
Quand je ne m'aime pas, je me juge comme pas aimable.
Quand je suis la voie des habitudes, je juge la nouveauté et l'inconnu.
Quand je cherche à contrôler, je juge les potentialités.
Quand je tiens avant tout compte de la parole des autres, je juge mon ressenti.
Quand je met des conditions, je juge le moment présent.

Pour aller plus loin sur le sujet :

Lorsque je me dis que je suis nul ou pas assez bien pour telle chose ou telle personne, que je me dis que je suis moins bien que untel, je juge ma valeur et le jugement devient dévalorisation. Mon mental, fonctionnant de façon binaire, ne peut percevoir mes caractéristiques que comme des défauts ou des qualités, mais qui suis-je pour juger mon unicité? Si le nombre infini des différences et singularités est la « Valeur » de l’existence, alors exclure une seule de ces spécificités c’est se couper de l’Unité.

Lorsque je me dis qu’il faut absolument que je fasse telle chose et que je remue ciel et terre pour y parvenir, je juge que si je ne le fais par cela va maquer au monde et le jugement devient illusion du pouvoir personnel de mon égo. J’ai à cœur à chaque instant de faire de mon mieux, mais qui suis-je pour juger de la perfection de l’état du monde? Si le nombre infini de possibilités de constats de la réalité est la « Perfection », alors exclure un seul de ces constats c’est se couper de la plénitude.

Lorsque je me plie en quatre pour venir en aide à l’autre, parfois même sans qu’il me l’ai demandé et pouvant aller jusqu’à me sacrifier, c’est juger que cette situation est mauvaise pour lui et le jugement devient sauveur. Cette situation peut être humainement inconfortable voir dramatique, mais qui suis-je pour savoir dans quoi son être est le plus susceptible de se « réaliser »? (dans le sens de prendre la responsabilité de son existence). Si le nombre infini de possibilités d’évènements de vie est la spiritualité, alors exclure une seul des directions que prend notre vie c’est se couper du « Sens » de l’existence.

Lorsque je pense que la réalité que je vis dans l’instant devrait être autrement, c’est juger qu’une autre réalité là tout de suite serait préférable pour moi et le jugement devient idéal. Il peut m’être difficile émotionnellement de regarder les choses en face, mais qui suis-je pour choisir la meilleure réalité? Si le nombre infini de perceptions relatives est la « Vérité », alors exclure une seule de ces relativités c’est renoncer à « l’Évidence ».

Lorsque je cherche à recevoir de l’amour de quelqu’un, c’est juger que je ne suis pas un assez bon humain pour réussir et/ou mériter de m’aimer moi-même et le jugement devient conflit intérieur. Il se peut que l’enfant que j’étais n’est pas été accueilli comme il se doit, mais qui suis-je à présent pour juger si je suis ou non aimable? Si le nombre infini d’humain est l’humanité, alors exclure un seul de ces humains c’est ignorer l’Amour.

Lorsque je suis en attente de quelque chose sans aucune ouverture à d’autres éventualités, c’est juger qu’un futur est mieux qu’un autre et le jugement devient « fermeture ». Mon imaginaire aime à se projeter dans l’avenir, mais qui suis-je pour juger l’inconnu qui vient à moi? Si le nombre infini d’inconnu est déploiement, alors exclure un seul de ces inexplorés c’est se fermer à l’émerveillement.

Lorsque je tente de contrôler une situation, c’est juger que ce que je suis n’est pas puissance et le jugement devient « emprise ». Sur le plan humain nous vivons évidemment des injustices et nos avons besoin de comprendre, mais qui suis-je pour juger de ce qui est juste? Si le nombre infini de possibilités est l’Universalité, alors exclure un seul potentiel c’est ne pas être présent à l’abondance.

Lorsque je voudrais être ailleurs où dans une autre situation, c’est juger ma place et le jugement devient déconnexion. Il est a, il est vrai, des situations inconfortables, voir intolérables où pour survivre on a besoin de se couper de son ressenti, mais qui suis-je pour juger de la cohérence de mon intériorité? Si le nombre infini de connexion est fluidité, alors exclure une seule de ses intrications c’est se couper de l’Harmonie.

Lorsque je m’oblige où que je m’interdis, c’est juger ce que je vis dans l’instant et le jugement devient contrainte et enfermement. La vie ne peut pas être sans limites, mais qui suis-je pour juger ce qui se vit en moi et par moi. Si le nombre infini d’expérimentation est Liberté, alors exclure une seule de ces sensations, c’est éteindre ma Joie.

Et chez vous, quelle forme a tendance à prendre le jugement ?

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Mon autre

Et si mon autre,
dont je suis en recherche dans les yeux et dans les bras
dont je perçois le reflet dans ce qui guide mes pas
ce que je cherche à retrouver
avec lequel je souhaite fusionner
ce jumeau, ce double, ce complément
cet autre moi qui me manque terriblement.

Et si mon autre,
qui donne un sens à ma vie
qui met en lumière mes envies
sans qui je n'existe plus
sans qui je navigue à vu
ce qui me comprend sans que j'ai à parler
ce qui me connait sans que j'ai à m'expliquer 

Cet autre qui me donne un but
et apaise ma solitude.
Cet autre qui me met en vie
et me préserve de la folie.

Cet autre 
qui dissipe ma peur
avec qui tout est lueur
Cet autre
qui fait pétiller mes yeux
avec qui tout est un jeu

Et si cet autre c'était toi, 
ma flamme
mon Âme
 
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Au commencement était le souffle

Vous êtes-vous déjà interrogés sur la signification de « Au commencement était le Verbe » ?

Cette locution est extraite de l’Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 1,1-18 : « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui… »

Avez-vous déjà tenté de parler sur une inspiration? Si oui vous en avez probablement conclu que la parole ne peut se faire que sur l’expiration car en effet

parler c’est souffler !

Une des lectures possibles du mot « Verbe » étant : la parole, le langage, l’expression de la pensée par les mots,

le Verbe est donc le Souffle !

La symbolique exprimée par ce passage de l’Évangile selon St Jean, nous révèle donc que le Souffle est l’existence l’originelle, qu’il n’y a rien avant le Souffle, rien au-delà du souffle, en d’autres mots qu’il n’y a rien de plus important que le souffle et la respiration.

La respiration est en effet présente à chaque instant de notre vie !

« Auprès de » c’est tout à côté, mais aussi en comparaison de, dans l’esprit de, en contact avec, comme si le Souffle était comparable au Divin en nous, en corrélation et en communication avec ce qu’il y a de plus grand et de plus noble en nous.

« C’est par lui que tout est venu à l’existence… », comme si rien n’est possible sans le Souffle, qu’il est donc la puissance, la présence, la rayonnance de l’Être.

Comme si ces paroles de St Jean nous mettaient sur la piste du fait que le souffle est ce qu’il y a de plus précieux, mais aussi de plus puissant, que c’était la clé de la « Maîtrise » de la vie, non pas au sens de contrôle, mais au sens de surfer avec et faire « Un » avec.

La respiration c’est vivre la puissance de l’Être en se connectant à l’Ici-Maintenant.

Le souffle c’est la manifestation de l’âme dans la matière

Le grec ψυχή, psukhḗ \psyː.kʰɛ̌ː\ , autrement dit la Psyché, signifie l’âme, l’esprit et donc le Souffle de vie. L’âme venant du latin anĭma désignant pour « vent », « air », « souffle » (par opposition au corps). L’âme comme siège des sentiments, des passions, de l’intelligence, de l’esprit, des désirs, de nos aspirations. Ces dernières étant elles aussi en lien avec le Souffle de vie. Aspiration venant du latin aspīrāre / aspīrō, de spiro « souffler » avec le préfixe ad- le rapprochement, la proximité, l’addition, le renforcement ou le commencement. Nos aspirations pouvant donc être la « source du Souffle », ce qui nous rapproche de Souffle et donc de l’âme. La voie de notre âme

Nos aspirations sont donc la voie de notre âme et la façon dont nous faisons résonner ce Souffle de vie est notre voix.

D’un point de vue plus concret, la respiration c’est l’accès à la circulation des émotions, au chant, à la concentration, à la force physique, à des plans plus subtils de conscience… comme si savoir explorer la respiration c’est avoir le mode d’emploi de cette étrange et fantastique monde qu’est le corps humain.

On retrouve cette connaissance également dans d’autres domaines spirituels, tel qu’en témoigne cette vidéo :

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2021 à la lumière des cartes

Je propose ici une lecture des cartes (Dixit et Tarot du Zen) inspirée de la clé de naissance et de la Loi du Principe de la Bioanalogie, sur le thème de 2021.

Expérimenter la découverte d’un potentiel, c’est avoir pour référence sa sérénité et pour sérénité la non-identification au mental. Comme si notre identité se trouve dans la sérénité et que notre sérénité est de ne pas faire de notre identité un objet. Subtil n’est-ce pas !!!

Je vous laisse prendre dans cette vidéo ce qui vous correspond et je vous remercie pour vos commentaires inspirants.

Expérimenter la découverte d’un potentiel

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2020 – L’année de la vérité

Ma vérité c’est respecter précieusement la perception de ce que j’expérimente librement avec Amour !

Cette année 2020 est en effet la découverte de mon authenticité. Cette authenticité dans laquelle je m’aime telle que je suis dans toute mon humanité, celle qui m’affranchit des chaînes de croyances, celle dans laquelle je suis libre d’expérimenter toutes les possibilités de perceptions et donc de réalités. En étant prêt à expérimenter librement et avec Amour ma réalité unique de l’instant, je m’affranchis de tout maître extérieur et je vis ce nouveau paradigme de l’homme libre.

Si vous souhaitez en entendre d’avantage et en retirer ce qui vous correspond, je vous invite à visionner ce tirage de carte.

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Et si l’immobilité était le coeur de tout mouvement, activité ou dynamisme ?

Le « cœur » dont il parle me fait penser au centre de la toupie qui est immobile au cœur du mouvement. C’est en effet là que la gravitation de la toupie est la plus intense. Pour ceux parmi vous qui connaissent l’arbre de la Clé de Naissance, ce cœur de la toupie est le nombre de la convoitise. Ce nombre me semble donc une clé pour contacter votre façon à vous d’être calme est intense.

Pour moi par exemple, ce nombre est le respect de ma vérité et de ma perception hors norme. Il m’est en effet arrivé d’expérimenter combien quand je suis centrée sur le respect de ma vérité, je suis à la fois intensément vivante et profondément calme, comme Sadhguru l’évoque ici. De plus ce cœur est le centre au travers duquel se fait en nous, la mutation de la survie à la vie. Mutation qui est justement dans l’air du temps puisque tout virus est une invitation à muter.